Gérer la fin de dotationpour les professionnels de santé ?

C’est le 04 Octobre que prend fin la dotation de l’Etat en équipements de protection individuelle. Depuis le début de la crise sanitaire, et pour faire face alors à la pénurie mondiale de masques, les professionnels de santé se voyaient distribuer par les établissements sièges des groupements hospitaliers de territoire, des masques chirurgicaux, FFP2 et autres EPI nécessaires à la prise en charge de patients Covid19 (gants, blouses, charlottes, tabliers, lunettes).

Un secteurqui va devoir s’organiser

A partir du 05 Octobre, charge aux soignants de s’organiser pour constituer un stock suffisant pour tenir 3 semaines en temps de crise épidémique, comme le stipule la DGS fin Juillet dans son courrier adressé aux professionnels concernés.

Une problématique de plus pour un secteur d’activité en première ligne depuis début Mars, et qui impacte directement les finances de la majeure partie des cabinets médicaux, infirmiers libéraux, cabinets de dentistes sur tout le territoire.

Certes l’approvisionnement en masques de protection (chirurgicaux et FFP2) est plus aisé qu’en Mars ou Avril, mais qu’en est-il du budget alloué pour réaliser un tel stock ?

Quel impact sur leur trésorerie à court terme ?

Quelles solutions pour prolonger la durée d’usage ?

Beaucoup d’entre eux se tournent alors vers des solutions alternatives, notamment françaises, permettant de limiter le budget d’achat des masques tout en maintenant leur qualité de protection. C’est notamment le cas des dispositifs de désinfection par LED UVC (voir le produit), utilisés aujourd’hui et depuis plusieurs semaines dans plusieurs cabinets médicaux, cabinets dentaires, kinésithérapeutes et autres infirmier(ères) libéraux(les). La facilité et rapidité d’utilisation du produit, couplées à la performance certifiée en termes d’efficacité en font un allié essentiel dans cette nouvelle étape de la crise sanitaire et économique.
Uvocare avec des objets à steriliser

Possibilité dedésinfecter les masques chirurgicaux

La possibilité de désinfecter les masques chirurgicaux mais également FFP2 et de les réutiliser jusqu’à 10 fois selon les résultats des tests de qualification des masques réalisés par le LNE[1], permet de limiter grandement la logistique d’approvisionnement, le budget et la génération de déchets actuels.